| | Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! | |
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+12maka chan Kazuha Tonio Lurleen Sakelie Axou. Colibri Tattu Mitsuki Harmony Phantom Yû 16 participants |
Quel texte préférez vous ? | Texte 1 | | 53% | [ 9 ] | Texte 2 | | 6% | [ 1 ] | Texte 3 | | 6% | [ 1 ] | Texte 4 | | 0% | [ 0 ] | Texte 5 | | 35% | [ 6 ] |
| Total des votes : 17 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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Yû Maître Suprême du Jeu
Messages : 3948 Date d'inscription : 18/09/2009 Localisation : Inconnue
| Sujet: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mar 27 Sep - 20:22 | |
| Salut chers lapins écrivains ! Il me manque deux textes du coup on ferra sans ~ Cela nous fait donc 5 écrivains en lice ! C'est à VOUS de délibérer pour LE texte qui vous à le plus tenu en haleine et qui respecte bien évidemment les consignes misent en place ! Les textes vont être postés à la suite de ces quelques informations. Pour avoir le plus d'objectivité possible, les auteurs ne seront pas cités pour éviter les: "Ba comme c'est machin qui l'a écrit je vais voter pour lui !" Les mises en pages des textes n'ont pas été modifié et l'orthographe est telle qu'elle ! Les auteurs des textes sont priés de garder leur anonymat jusqu'à la fin du concours ! Le texte ayant le plus de vote sera le gagnant du concours ! Le gagnant se verra décerner un statut spécial sur le forum ! Peut être que les administrateurs décerneront eux aussi un prix au texte qu'ils ont le plus apprécié ! Voilà maintenant les textes au dessous de ce message ! Bonne chance à tous ! Fin des votes Dimanche 2 Octobre vers 22h ! Texte 1 - Citation :
- " Cela fait maintenant dix ans. Funeste célébration que voici. Et je suis de retour..
M’attendais tu ? Je ne pense pas.. Je suis celui qui fut et à jamais sera.. Celui que tu aimais et qui t’aimait. Tragique anniversaire de la chute d’un amour, éclatant dans mon cœur comme un feu d’artifice. C’est drôle j’aurais pensé que tu pleurerais.. Une larme c’est peu donné pour dix ans d’absence. Tu me trouves changé ? Peut être un peu plus blême.. Toi tu es restée la même si belle, si loin.. Si seule.. Tu parais tellement fragile dans ton armure de glace.. As-tu refais ta vie ? Il semblerait que non. Les bouteilles de champagne ont occultés tes maux, les pilules de l’oubli t’ont reconstruit un rêve. Tu attend la mort comme on attend un train, tu tentes d’autres moyens afin que ton cœur crève. Pourtant ce n’est pas ma faute. Ce n’est pas nonplus la tienne. Seulement c’est ainsi, ta maladie l’a emporté, le poignard tu as saisi, dans mon sommeil tu m’as tué. La lame s’enfonçant en mon cœur comme une pelle dans une tarte. Puis tu m’as entérré, souviens toi tu pleurais. Et dix ans ont passé pourtant rien n’a changé. Dix ans que chaque nuit tu me vois dans tes songes. Dix ans que tu crois me retrouver, que chaque fois je suis obligé de te dire de ne pas m'en vouloir car je suis bien mort, et que toi, tu es bien folle. Dix ans que cela fait dix ans... Bon anniversaire mon amour." L’un était prisonnier la mort, l’autre de la vie, ils se revoient en reve, aux trefonds de la nuit. Texte 2 - Citation :
- "Ce soir, c’est Halloween et accessoirement mon anniversaire. Je me suis réveillée tout à l’heure avec cette pensée à l’esprit, et je dois avouer que je suis aussi excitée qu'un enfant la veille de Noël. Les invités arriveront dans une heure, tout a déjà été préparé. Je jette un coup d’œil à la décoration de la maison. Le salon a été transformé en salle de bal pour l’occasion. Les imposants lustres et les verres de cristal s’accordent parfaitement avec la vaisselle noire, le sol de marbre et les meubles d’ébène laqué. Tout est parfait et respire la richesse.
Malgré le tapis moelleux recouvrant le sol de marbre qui étouffe le bruit de mes pas, le cuisinier Alfred perçoit ma présence et passe la tête par la porte des cuisines en me saluant, une pelle à tarte à la main. Je monte ensuite me préparer, il me reste trois quart d’heure avant l’arrivée des invités. J’ouvre mon dressing – pièce à part entière du premier étage qui m’est entièrement consacré – et en extrait une longue robe bustier bleu nuit en satin faite sur mesure spécialement pour mon anniversaire. Anna, ma femme de chambre, m’aide à la passer. J’enfile ensuite mes stilletos Moschino assortis et me maquille. La sonnette d’entrée retentit, le portier demande son nom à l’arrivante et consulte son registre. Elle est bien sur la liste. Anna la conduit dans le salon. Le « Omondieu ! » que l’invitée laisse échapper me fait esquisser un sourire, la décoration est à la hauteur de ma réputation. Je descends pour l’accueillir. C’est une fille de ma classe, que je connais à peine. J’ai invité tout le lycée, personne n’a décliné. D’autres convives ne tardent pas à arriver, tous émerveillés par l’intérieur du manoir. Un groupe entre alors sans sonner en beuglant un « JOYEUX ANNIVERSAIRE VIOLETA ! ». Il s’agit de mes amis proches, Veronica, Valentina, Valeriu et Vladimir. Les V sont au complet. La fête bat son plein, les adolescents s’enivrent, s’entassant autour de la fontaine de champagne –certains prennent même des bouteilles qu’ils vident en buvant à même le goulot– les cinq V les regardent faire, attendant le moment propice. Personne n’a remarqué que nous ne buvions pas. Nous partons alors en chasse. J’ai repéré un groupe de trois garçons qui me dévorent du regard. Je m’approche d’eux, ils sont saouls. Je leur fait signe de me suivre et ils s’exécutent, rejoints par les quatre proies de Veronica et Valentina ainsi qu’une demi-douzaine de filles charmées par Valeriu et Vladimir. C’est maintenant que la fête commence pour nous. Nous conduisons nos proies titubantes au sous-sol que nous verrouillons de l’intérieur. J’allume la lumière, éclairant une vaste pièce en verre et acier, qui ressemble à une chambre. Trois canapés de cuir noir entourent une table basse au milieu de la pièce, et plusieurs petits lits cachés les uns des autres par des paravents s’alignent au fond. Nous allongeons nos convives sur ces lits et, laissant apparaitre nos crocs, nous jetons sur le cou de nos victimes, mouchetant d’éclaboussures de sang les paravents blancs dans un feu d’artifice sanguinolent. Nous laissons Anna se charger des corps et retournons au salon. Alfred éteint la musique et amène un gigantesque gâteau sur lequel trônent dix-sept bougies symbolisant mes dix-sept ans pour mes convives humains, dix-sept décennies pour moi. La fête se termine, les invités repartent sans avoir remarqué l’absence de treize d’entre eux. Je monte dans ma chambre, sort un petit carnet rempli de noms, en raye treize avec un air satisfait, et imagine le cent-soixante-et-onzième anniversaire de Violeta Draculea." Texte 3 (Félicitations à ceux qui liront ce texte en entier car il dépasse amplement les limitions convenues, d'où le spoiler). - Spoiler:
- Citation :
- Titre: La fête de l'ODA
Chaque être a un droit de vie limité. Maurice vivait dans cet état d'esprit. Aussi limitait-il au maximum ses actions dans à ses besoins et restait souvent silencieux. On disait souvent qu'il n'était pas vraiment vivant, seulement une coquille vide. Le garçon avait une soeur jumelle au doux prénom de Colette et un jeune frère nommé Gaélien. Lequel, du haut de ses 5 ans avait tout ce que rêvait les enfants de son âge, à l'exception de réels parents, qui n'était quasiment jamais là, jugeant leurs travaux respectifs plus important que leurs gosses qu'ils laisseraient volontiers mourir de faim si on ne leur reprochait pas les cris dans la cave. Bref, revenons à notre sujet principal, à savoir ce cher Gaélien. Donc le môme était juste un gamin pleurnichard qu'on rêverait parfois de jeter contre un mur tant il était énervant par moment. Quand à la dernière sœur, Colette, elle était une jeune fille très joyeuse, toujours pleine de vie et belle à en faire pâlir un dragon. Néanmoins, les garçons et les filles ne l'intéressaient ni en amour ni en amitié; elle préférait les livres. Elle lisait une cinquantaine de livre par mois au frais de ces parents, ce qui la rendait plus cultivée largement que ces camarades. Aussi, avait elle des facilités en général en cours. Elle faisait néanmoins partie d'une organisation suite au braquage qu'avait commis Maurice quelques années auparavant. Pour protéger son frère, elle s'était engagée à la ODA (Organisation des délinquants apprivoisés) et s'était accusé du crime. Bien entendu, leurs physiques semblables avaient empêché quiconque de douter de la parole de la jeune fille. Ce jour là, les parents étaient partis tôt oubliant de déposer Gaélien chez le voisin pour qu'il y passe une journée seul dans une maison vide, puisque l'homme serait au travail, dans l'espoir que le môme se blesse en glissant sur un tapis avant de culbuter sa tête contre l'angle d'une table et que notre cher responsable de la maison ne se prenne un procès pour avoir falli tuer, voir tuer l'enfant. En se réveillant donc, Maurice se rendit compte que le démon était toujours dans la maison. Aussi, il réveilla Colette en cognant dans la porte. Soudain, la porte de la cave se mit trembler sous les coups de se qui était dedans. La voix faible d'un homme sans doute faible, se fit entendre: - Laisser moi sortir! Je vous en supplie cela fait plusieurs jours que vous m'avez enfermé. Colette ouvrit la porte de sa chambre et chuchota: - Oh non, c'est encore là. Je n'en peux plus. Nous devrions faire moins de bruit, il finira par sortir. Heureusement que nous partons bientôt pour la fête décerné au retour du chef. - Le gosse est toujours là. - On le prend, je demanderais à quelqu'un de s'en occuper là bas. La fête en l'honneur du chef était prévu à deux pâtés de maison de là. Elle serait dans le manoir des Tudor, celui où vis le chef vit seul puisque sa femme est mystérieusement morte dans sa cave quelques années auparavant. La manoir était gigantesque. Comme elle avait participer à l'organisation de la fête, Colette avait visité la maison, du moins le côté visible parce que la porte menant à la cave et celle menant au grenier avait toutes deux été barricadées. Sans doute à cause des accidents qu'il y avait eu avec les escaliers des deux endroits. Colette prit Gaelien par la main et jeta un regard où Maurice put lire de l'impatience. Aussi, nos trois gamins sortirent de la maison laissant ce qu'il y a dans la cave dans la cave. Ils arrivèrent très vite au manoir. Dans le jardin, des centaines de stand était placé de la façon la plus symétrique qu'il soit. L'aîné commenta: - On dirait un camp militaire au V ème avant J-C - On est à la fête foraine? demanda Gaelien. Colette leur ordonna froidement de se taire alors qu'un homme assez grand, chauve et nippé d'un queue de pie, ayant la posture parfaite d'un domestique s'avança vers eux avec un air mécontent: - Tu es en retard, Colette, les policiers attendent. Et tu connais le chef, il déteste les retards. Colette le regarda d'un air hautain puis il parti, suivi de près par la jeune fille. Maurice se tourna vers Gaelien: - Que fait on? Le garçon le regarda inexpressif sans répondre. C'est à ce moment là qu'arrive une femme dans une robe de soie d'un rouge proche du brun extrêmement moulante. Elle avait de longs cheveux noirs attachés en une tresse, elle même lié au dos de sa tête grâce à une pince. Ses yeux d'un bleu profond fascinant à l'expression aussi froide qu'un glacier se posèrent sur l'enfant qui frissona puis remontèrent chaleuresement sur son ainé: - On m'a chargée de ramener l'enfant auprès de Louise. Elle détourna les yeux avec un air d'enfant puni: - Le chef va bientôt venir, comprenez! Nous nous voulons pas d'un enfant en liberté pour gêner nos projet. Elle prit l'enfant par la main. Sous la force de la poigne de la femme, le gamin se mit à pleurer avant de se laisser tomber pour ne pas partir. Elle n'en fit pas attention et le traina par terre. Ils disparurent dans la foule. Oui, la foule, pendant que Maurice n'y faisait pas attention, était arrivée, regardant les diverses animations proposées aux stands ou attendant pour y participer. - On se croirait vraiment à la fête foraine, soupira le garçon. Je vais chercher la pêche aux canards. Une jeune fille dans une robe blanche immaculée lui arrivant à auteur des genoux arriva devant lui en faisant un tour sur elle même. Elle regarda le jeune homme avec un sourire. Il la reconnut aussitôt, c'était Marriette, une jeune fille de sa classe que l'on trouvait un peu cinglée mais qui était juste normal. Elle dit, en riant d'un rire d'enfant: - Il va bientôt y avoir un mort puis le festival de sang pourra commencer. Elle tourna de nouveau sur elle même en riant de plus belle puis disparut dans les buissons. Maurice sembla amusé, comme envouté par l'aura de gaîté que qu'avait laissé Mariette. Puis il se ressaisit: il y allait avoir un meurtre! Il ne pouvait prévenir personne, les gens paniqueraient! Il lui fallait trouver une solution et vite!
*
L'homme retira son haut en se regardant dans un miroir. Le temps où il n'était qu'un être dominé allait changé du tout au tout. Il mit l'habit cérémoniel qu'utilisait son père lorsqu'il allait à ses rites païens, c'est à dire assez souvent, pensant semer le chaos régnant dans son âme. Il retira son pantalon. Il avait l'impression d'être dans une simple robe. Cela ne lui plaisait guère. Les êtres dominants n'étaient jamais dans des robes, seuls les êtres dominés portaient se genre de vêtements. Il devait ignorer cela, il était supérieur pour songer à cela malgré tout le doute restait. Et si à cause de son habit, il était jugé indigne de dominer la terre? Non, cela ne se pouvait pas. Il mit le coiffe que mettait son père lorsqu'il portait son vêtement cérémoniel. Le sacrifice de la jeune vierge délivrerait le démon du chaos, jugeant les êtres sur 500 km à la ronde et décidant de la mort des êtres impurs. Cet être fait des cendres de l'enfer lui obéirait à lui et à lui seul jusqu'à la fin de sa vie. Oui, il serait le dominant de la Terre et le démon serait dominé à lui. Il deviendrait une sorte de Dieu. Bien sûr, tout cela serait fait dans le but d'un monde parfait où les êtres seraient unis dans la vie comme dans la mort. Pour se faire, sa seule solution était de se salir les mains. Il savait déjà où se trouvait la vierge prête au sacrifice. Il regarda par la fenêtre et la vit tourner sur elle même. Elle n'attendait que lui pour mourir. Il sortit. Les gens se tournèrent à sa vue mais qu'importe bientôt, il dominerait le monde et ils ne le regarderaient plus bizarrement mais c'est lui qui les regarderait bizarrement. A cette pensée, il ne put s'empêcher de rire d'un rire sadique, entraînant plus de regard sur lui, des regards encore plus insistant. Oui, il serait le dominant. Le garçon à qui elle avait parlé avait disparu, il n'avait plus aucun soucis à se faire; tout se passerait comme il le souhaiterait. Il entra dans les buissons et vit Mariette seule regardant l'heure. Il ne put s'en empêcher, il la prit dans ses bras, lui mit la main sur sa bouche. Le jeune fille effrayée se débattit tant bien que mal pour sortir de l'étreinte de l'homme qui sortit un couteau de son sac et lui trancha la gorge. Elle agonisait, certes mais elle n'était pas morte. Elle n'eut pas la force d'hurler ni de parler. Aussi, elle regarda son tortionnaire implorante. Mais notre homme n'eut à cette vue qu'un sourire sadique, qu'il s'empêcha de continuer par le rire qui allait avec. Il prit le couteau, retira le haut de la jeune vierge et lui ouvrit le ventre. Elle couina. Il lui mit un explosif dans le ventre l'alluma et partit en courant. Après quelques secondes, une explosion retentit. Il partit en courant. Aucune chance qu'elle est survécue.
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Hugo-Edward arriva sur les lieux où il y avait eu une explosion en courant, suivi par son capitaine. Ils virent le corps sans vie de Mariette, le ventre explosé et les organes décimés autour de son corps. - Capitaine, capitaine! - Oui, Hugo-Edward? soupira le capitaine. - Mon capitaine, il y a un corps! - Oui, Hugo-Edward, ça arrive. Continuons notre ronde. - Mais enfin, mon capitaine! Nous ne pouvons laisser cela comme ça, il faut appeler les secours. - Mon cher Hugo-Edward, tu ne connais à cela. Laisses ce corps et continuons notre ronde. Tu sais ce qu'à dit Colette, il ne faut pas qu'il y est d'événements perturbateurs. En plus, tu n'y connais rien, si nous prévenons le QG, c'est un coup à faire des heures supplémentaires. Non, Hugo-Edward, je ne veux pas être mêler à cela. Donc continuons la ronde. Au pire, vous cherchez des indices tout seul. Ainsi, vous aurez une promotion si vous trouvez le coupable. - Mais enfin, je suis stagiaire, capitaine! De toute façon, vous n'avez pas le choix, c'est votre devoir en temps que policier que d'enquêter pour découvrir ce qui s'est passé. - Soit, Hugo-Edward, je vous aiderai à trouver le coupable mais une fois la fête terminée.
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Maurice crut entendre une explosion. Il regarda, mais ne voyant aucun signe de panique, il se dit qu'il avait sûrement rêvé. Aussi, il alla faire un tour dans le stand s'appelant "La taverne de Bernard". L'endroit semblait calme. Il y avait quelques tables en bois et des chaises de la même matière. On pouvait voir des traces de bagarre. Le barman, sans doute Bernard, l'appela: - Ho! Hé! Matelot! Y'a t'y que'que chose qui pourrait t'faire plasir d'ma taverne? Maurice le regarda, tel qu'on regarderait un extra-terrestre débarquant dans notre jardin. L'homme était de vraisemblablement normand. Il portait un kilt vert et une chemise de couleur mauve avec des petits cœurs. Il était chauve mais portait une barbe assez imposante. Maurice fut interloqué de la manière dont il lui avait parler. Aussi, il répondit sur le ton de l'outragé : - Vous auriez à quoi à me proposer? - En l'honneur d'chef, nous n'servons qu'du champagne! C'est sa boisson favorite! Maurice commanda et, alors qu'il commencer sa boisson, Colette arriva, essoufflée: - C'est terrible! C'est terrible! Il y a eu un meurtre! Le garçon but d'un trait sa boisson puis partit avec Colette sur le lieu du crime. Il fut écœuré et triste. Il mit sa main sur son visage pour s'empêcher de pleurer et gémit: - Dire qu'il y a encore moins d'une demie heure, elle m'annonçait un bain de sang et la voilà... morte! Quelle horreur! - On dirait un feu d'artifice, admit Colette. L'expression de Maurice se tordit. Les comissures de ses lèvres remontèrent légèrement, formant un sourire dès plus sadique. Ses yeux se fermèrent légèrement, formant une expression des plus cruelles. Il murmura de façon à n'être entendu que de lui et du cadavre: - Oui, je l'ai eu mon feu d'artifice, un feu d'artifice tel que personne n'a jamais rêvé. Hugo-Edward et le capitaine arrivèrent en courant: - Au mon dieu, capitaine! C'est le cadavre que nous avions vu tout à l'heure! Capitaine! Avons nous avancer sur cette affaire? - Non, Hugo-Edward, non! Nous n'avons rien trouver si ce n'est un témoin qui dit avoir vu un travesti avec des lunettes sortirent en courant de l'endroit du crime en courant mais il portait des lunettes donc le témoin ne pourra le reconnaître. Soudain, un canard arriva. Il avait trois pattes. Le capitaine eut une idée. Il prit le canard dans ses bras. L'animal se laissa faire; il ne semblait pas effrayé par les humains. L'homme mit un patte entre ses mains et la brisa. L'animal couina et se mit à hurler en débattant. Hugo-Edward, Maurice et Colette furent choqués. Maurice s'exclamma: - Que faites vous? Vous n'avez pas honte? Casser une patte à ce pauvre canard! Hugo-Edward tenta de reprendre le pauvre canard des mains de son tortionnaire mais le capitaine le poussa en disant: - En cassant cette patte à ce canard, j'ai pu avoir une illumination. Je crois savoir quel est l'arme du crime. En les cassant toutes, je devrais en avoir casser trois et comme on dit, ça aura casser trois pattes à un canard et ça sera donc exceptionnel, fantastique et j'aurai le fin de cette fête macabre; le sacrifice d'une vierge est considéré par chez moi comme une grande fête. Par ailleurs, vous avez déjà vu un canard à 3 pattes? C'est une légende ce canard à trois pattes. Ne dit-on pas: "Ça ne casse pas trois pattes à un canard?" donc si nous avons trouvé ce canard de légende, c'est pour lui casser les pattes et rien d'autres! - Bah, en même temps, trouver l'arme du crime n'est pas difficile. Vraisemblablement, elle a été bourrée d’explosifs, grogna Colette. Et cela est de votre faute, capitaine! Si vous aviez fait attention un temps soit peu au alentour, nous n'aurions pas eu de cadavres sous les bras! Par ailleurs, dépêchez vous de trouver le coupable que la fête reprenne de plus belle. De plus, le chef ne devrait pas tarder. Le capitaine cassa une deuxième patte au canard qui hurla de toute sa gorge espérant un miracle pour sauver sa dernière patte. Pourtant, il savait qu'il n'avait quasiment aucune chance d'échapper au triste sort auquel il aurait le droit et à la triste vie d'éclopée qu'il aurait ensuite. Maurice ne bougeait plus du tout, sans doute horrifier par le geste du capitaine ou par overdose d'actions de la journée. Lequel s'exclama: - Je ne suis plus très loin de la vérité maintenant! Encore une patte et je saurai qui est le tueur de Mariette! - Qui vous a dit son nom, capitaine? interrogea Colette, soudaine suspicieuse du capitaine. L'homme la regarda avec un sourire: - C'est marqué sur son pendentif. Il cassa l'ultime patte du canard. Cette fois, l'animal s'immobilisa. Il se demandait comment il pourrait vivre ni avec trois, ni avec deux, ni même avec une patte mais sans la moidre patte, le moindre petit appui possible. En voyant l'expression sadique qu'avait pris le visage du capitaine alors qu'il lui broyait la dernière patte, le canard eut une certitude: l'homme avait tué la jeune vierge et il lui ferait peut être sa fête s'il réussissait à faire comprendre sa découverte. Aussi, n'en pouvant plus, il décida de se mordre la langue et mourut dans la bras de son tortionnaire. Lequel posa par terre le corps sans vie du canard à trois pattes et dit: - J'ai découvert la vérité. Le sacrifice de ce canard n'aura pas été vainc. Mariette s'est suicidé. Elle a ouvert son ventre sans doute avec une belle a tarte, c'est le plus logique et qu'elle y a placé des explosifs assez faibles avant de les allumer. Ils ont explosé, formant un magnifique feu d'artifice de sang. Son mobile était simple! Elle ne pouvait plaire à Maurice autrement qu'en étant morte car elle connaissait le terrible secret de Maurice et maintenant je le connais aussi. - Vous êtes malade, cria Colette. Son frère n'avait pas réagit. Il n'était plus vraiment avec eux, trop choqué par ce qui était arrivé au canard à trois pattes. La foule se dispersa très vite. Seul Maurice resta là à admirer son "feu d'artifice" et à soupirer tel un amoureux transi du sacrifice de sa vierge. Soudain, un hurlement se fit entendre: - Qu'avez vous fait à mon canard? C'était Gaélien. Il alla auprès de l'animal blessé et tenta de le ranimer à l'aide de sa boisson favorite, le champagne. Malheureusement, l'animal avait rendu l'âme. Parmi la foule, on chuchotait: - Ainsi le canard à trois pattes appartenait à notre chef? - Le capitaine a été horrible avec ce canard. Le ciel s'assombrit et la terre commença à hurler: Le festival du sang aller commencer. Gaelien commença à changer de forme. La fin, vous pouvez la deviner, mon travail s'arrête ici en même temps que ma vie.
Texte 4 - Citation :
- je vais vous raconter ma propre mort!
Ce matin la je mettait déjà reveiller assez nauséeux quand un mal fou me prit a l'estomac. peut-être été-ce le stresse? Pour moi aujourd'hui c’était un grand jour, ma premiere découverte historique: une pelle a tarte qui appartenait a la reine d'angleterre Elisabeth première et qui a été servi a son mariage.Cette pelle a tarte avait etait perdu il y a des années après un déménagement de la reine Elisabeth première. A l'arriver ou se deroulait la réception j'etait accueilli dans un luxueux château. Les interrogatoires des journalistes,les buffet ravissant,les bourgeois me parlait,c'est comme si j'etait un heros je vivait un rêve éveillé. Mais la seul choses qui venait me gâcher le plaisir était cette nausée atroce et ce mal de ventre continue tel un broiement de mon estomac. J’avalai quelque appperitif au moment ou un valet de la reine elisbeth 2 s’approchât et m'indiqua d'un geste s'implicite la direction ou je devait me diriger. Je me retrouvait ébahis devant la reine sans rien pouvoir dire, je m’inclina dignement puis elle me releva en me remercient. J'en était confus j'etait comme un nuage flottan dans les aires. Une femme nous accompagnait c'était la résidente actuelle de la maison ou j'avais trouver la pelle a tarte emballer avec une lettre et de photo du mariage d'Elisabeth première. Cette femme était d'une rare beauté la seule chose qui lui manquait était un doigt. Quelque temp plus tard on m’escortât dans une loge ou je rendit la pelle a tarte et j'expliqua comment mon enquête ma permis de la retrouvé dans l'ancienne résidence de vacance du mari d'Elisabeth première. A la fin de mon recit un serveur ouvrit une bouteil de champage et nous trinquons au balcon devant un magnifique feux d'artifice. Dans mes yeux les eclat multicolor petillait de mille feux quand une remonté d' acide me brûlait l'oesophage et tout ce que j'avai ingurgités au cour de l'apéritif remontait en moi la je mis ma main sur ma bouche et je courrus en direction des wc en essayant de mis retrouver; j’atteignis enfin ces splendides toilette ou la je rejettat tout ce que j'avais avaler au cour de la journeé . Je me lavait les mains quand brusquement quelqu'un me sauta dessus s'en voir qui c'était, je me débâtait, j'essayait mais c'etait trop tard mon agresseur avait prit le dessus, d'un long couteau egisés il m'avait pognardés, transpercés le coeur de plein fouet, je succombait a la mort. La seul chose que j'eus le temp de voir c’était le couteau planté dans mon abdomene, la main de mon agrésseur cramponné a ce couteau. C'était une main fine et horrible ou il y manquait un doight!
FIN. Texte 5 - Citation :
- Le festival du Tanabata est vraiment un fête a part dans la culture nippone! C'est réellement un soirée magique! La légende a la base de cette fête est déjà belle. C'est l'histoire d'une déesse amoureuse d'un mortel. Les deux s'aimèrent passionnément et eurent deux enfants. Leur bonheur aurait pu durer. Las! Les parents de la divinité la retrouvèrent un jour, et lui interdire de revoir son cher et tendre. Ils séparèrent alors le monde des dieux et celui des mortels, par un rivière infranchissable nommée voie lactée. Cependant devant la tristesse de leur fille les deux divinités l'autorisèrent à revoir son amoureux tous les ans le septième jour du septième mois. C'est en cette soirée de juillet que ce déroule donc ce festival joyeux ou tout le monde porte le yukata: un vêtement traditionnel ressemblant au kimono. L'ambiance est joyeuse et festive! Et la soirée se clôt toujours par un grand feu d'artifice.
Yuiko avait décidé de faire un tour dans le parc de Tokyo ou se déroulait le festival. Elle s'était vêtue de son plus beau Yukata pour l'occasion! Elle allait et venait entre les stand qui vendait de la nourriture. Elle venait d'acheter une part de tarte. Un stand en vendait. La vendeuse avait soigneusement pris une part avec sa pelle a tarte, et l'avait donnée à la jeune fille ravie! Il y avait vraiment beaucoup de monde. On ne pouvait pas faire un pas sans se faire bousculer et Yuiko s'en rendit compte assez vite. Elle rentra soudain dans un jeune homme. Le choc là fit tomber. Heureusement elle sauva sa tarte. Elle laissa échapper un petit cri. L'homme qui avait a peu près son âge à bien le regarder l'aida à se relever en se confondant en excuse. Yuiko trop heureuse de sa soirée lui dit merci avec un sourire. Pas étonnant qu'elle soit tombé. L'adolescent faisait une tête de plus qu'elle. Elle lui arrivait au torse environ. Elle le remercia de l'avoir aidé et continua son chemin dans le parc plein. Elle arrivait vers les bord d'un étang situé au milieu du parc alors qu'elle finissait sa tarte. C'est ici qu'elle avait prévue d'admirer le magnifique feu d'artifice. L'endroit était presque désert. Les gens préférait observer le spectacle d'autre part. Mais la jeune fille voulait un endroit assez isolé pour vraiment apprécier la beauté de la chose. Elle regarda autour d'elle puis trouva enfin un endroit a sa convenance près d'un saule pleureur. Elle se dirigea vers cet endroit tranquille pensant être seule pour le reste de la soirée... Mais elle n'était déjà plus seule... Une fois arrivée près de l'arbre elle fut déçue de voir que des déchets avaient été abandonnés par des gens peu consciencieux passés là avant elle.. Sachet de chips, baton de barbapapa.. Même une bouteille de champagne.. Ahlàlà.. l'endroit était plutôt sale. Tant pis elle s'assit a proximité. Puis elle se mit à attendre.
15 minutes avaient passées. Les feu d'artifices débuterait bientôt. La fille se sentit parcourue d'un frisson. Mais ce frisson était loin d'être provoqué par l'excitation de l'attente, ou par le vent frais qui soulevait les pans de son yukata entrouvert... Non.. en fait la jeune fille sentait une présence... ça arrive dès fois lorsque que l'on est observé... Par instinct elle se retourna. Quelle ne fut pas sa surprise et son soulagement quand elle reconnu l'inconnu qu'elle avait bousculé tout à l'heure. Le reconnaissant elle lui parla lui disant qu'il lui avait fait peur. Le jeune homme s'en excusa et lui fit savoir que lui aussi cherchait un endroit calme pour voir la fin des festivités. Yuiko l'invita donc a s'asseoir. Après tout peut être deviendraient ils amis? Ils discutèrent un peu de tout et de rien. Assis côte a côte ils avaient l'air d'un vrai petit couple.la soirée aurait pu se poursuivre tranquillement. Mais au bout d'un moment après avoir discuté 10 minutes.. le jeune homme qui s'était présenté sous le nom de Yukito se rapprocha un peu plus de Yuiko.. Elle se sentit d'abord gêné sans plus... Le yukata n'étais pas un vêtement qui couvrait vraiment le corps.. mais visiblement l'adolescent n'en avait pas fini.. il posa sa main sur une des cuisses de le jeune fille. S'en était trop! Elle le repoussa. Elle recommença a sentir la peur qu'elle avait éprouvée quelques minutes plus tôt... Yukito lui demanda ce qui n'allait pas.. elle n'eut pas le temps de répondre que le garçon lubrique se jeta sur elle la, plaquant violemment au sol! La jeune fille cria mais il lui mit la main devant la bouche. Personne ne l'avait entendu .. il n'y avait pas assez de monde alentour. Il étaient trop loin du centre de la fête. Puis.. les feu d'artifice venaient de commencer emplissant l'air de leurs lourdes explosions. Personne n'entendrait Yuiko crier même si elle le faisait de toutes ces forces. Son agresseur commença alors a s'allonger sur elle a la caresser. Il l'embrassait ici et là. La jeune fille ne put retenir ses larmes.. Elle allait.. elle allait vraiment se faire violer... là? Personne ne pourrait l'aider... Yukito commença alors a lui demander ce qui n'allait pas. car après tout, selon lui elle l'avait cherché.. c'est bien elle qui portait ce yukata alors qu'elle était en sous vêtements en dessous. C'est bien elle qui lui avait fait du gringue, en lui rentrant dedans tout sourire, et en l'invitant a s'asseoir avec elle... Le regard terrifiant du jeune homme glissa alors sur le corps de la jeune fille.. ça allait commencer.. il allait faire ce pour quoi il l'avait suivie. De sa seule main libre la pauvre victime cherhcait frénétiquement de quoi se défendre. Elle bougeait dans tout les sens pour essayer de se défaire de l'emprise de l'homme beaucoup plus fort qu'elle... Puis sa main tomba sur quelque chose.. un objet froid.. rond et large. Elle comprit ce que c'était.. elle saisit la bouteille de champagne par le goulot et l'abattit contre la crâne de son agresseur. Sous le choc la bouteille se brisa en dizaine d'éclats de verres et Yukito mugit se tenant la tête entre ses deux mains... il vacillait sur ces genoux. Yuiko alors libérer de son emprise et prise d'un accès de rage transperça à plusieurs reprise le visage du garçon^, de cette ordure qui hurlait devant elle. Ses cris redoublèrent.. mais les feux d'artifices couvraient le son provoqué par la scène macabre. Le sang coulait a flot du crâne et du visage meurtri du jeune garçon qui s'écroule alors par terre... Le jeune haletant encore resta la immobile.. elle l'avait fait.. ce garçon était mort... Elle venait de tuer un homme..
Yuiko courrait dans les rues de Tokyo.. elle voulait rentrer chez elle. Elle était épuisé.. elle avait du traîner le corps de Yukito jusque dans l'étang.. il avait alors couler a pic.. elle avait ramassé le bout de bouteille, arme du crime. Elle l'avait rangée dans son petit sac.. Quelqu'un trouverait le corps c'est évident.. il suffisait de suivre les traînées de sang dans l'herbe. Aucune pluie de prévue les effacer. Les joues de la jeune fille ruisselaient de larmes... et si on retrouvait le cadavre? Allait on l'arrêtée? serait elle jetée en prison.. elle avait tout juste 18 ans.. de cette soirée qui s'annonçait si bien.. avait tourné au cauchemar. Cette soirée commémorait bien la rencontre de deux amants maudits.. oui, mais cette histoire était beaucoup moins romantique...
Dernière édition par Yû le Mer 16 Nov - 19:59, édité 1 fois |
| | | Phantom Enigma
Messages : 1145 Date d'inscription : 22/08/2011 Age : 27 Localisation : Sens-tu mon couteau sur ta gorge ?....
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mar 27 Sep - 21:21 | |
| Je vote pour le texte numéro 5 qui m'a vraiment plu, bien pensé et très bien écrit. |
| | | Harmony Assassin
Messages : 329 Date d'inscription : 16/09/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mar 27 Sep - 21:54 | |
| Hehe ben dis donc ça fait une sacrée lecture tout ça~ Alors rapidement ce que j'ai pensé, je le mets en spoiler. ( Mes commentaires ne sont en aucun cas méchant, je suis bien trop nulle en expression écrite pour me le permettre ;__; ) - Spoiler:
♦ Pour le texte 1; C'était très romantique pas de doute, j'étais assez émue, y'a juste quelques expressions qui m'ont fait rire alors que c'était pas le moment de rire en lisant ce texte :') Comme : "La lame s’enfonçant en mon cœur comme une pelle dans une tarte." Je sais que c'était obligé de caser ce mot mais huhu c'était pas le plus discret possible :P
♦ Pour le texte 2; Pas mal du tout ! Très bien écrit et les mots sont parfaitement casés je ne les ai même pas remarqués ! Assez classique comme histoire mais efficace je suppose ;D
♦ Pour le texte 3; Oh mon dieu j'ai trop rigolé, quelle histoire ! Le coup du canard m'a un peu achevée franchement :') Super bien écrit, par contre c'est pas super facile à comprendre tout le temps (bon je suis un peu simplette aussi mais c'est chaud~ ! )
♦ Pour le texte 4; Huuu, j'ai apprécié l'arc-en-ciel juste avant la régurgitation, c'est court et original. Dommage qu'il ait pas mal de fautes d'orthographes >o<
♦ Pour le texte 5; Outre les quelques difficultés de l'auteur(e) avec le masculin et le féminin au début - n'est-il pas ?- le texte est super :D Vraiment bien écrit, bonne idée de parler du Tanabata et super retournement de situation o/
Mon vote va au texte 5 ! |
| | | Mitsuki Usurpateur
Messages : 1207 Date d'inscription : 19/09/2009 Age : 41 Localisation : Cela ne vous regarde pas!
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mar 27 Sep - 23:38 | |
| Bon.. les textes qui m'ont le plus séduit sont les textes 1, 3 et 5. - Spoiler:
Le 1 est court mais saisissant, il y a une concentration de sentiments bien représenter. Même si quelques tournures de phrase casse l'ambiance (je parle ici de la pelle à tarte o/) Le 3 est long mais il est possible de le lire! ( - Harmony a écrit:
- ♦ Pour le texte 3;
Oh mon dieu j'ai trop rigolé, quelle histoire ! Le coup du canard m'a un peu achevée franchement :') J'ai au contraire pas rigoler quand le canard et mort.. cest triste voyons! en bref cest du HS) Une intrigue s'installe au fur et à mesure du texte, les personnages se révèlent, vraiment intéressant. Le 5 est bien écrit! L'auteur fait une bonne analogie entre le mythe et la réalité. Le retournement de situation à la fin est quelque peu inattendu.
J'ai une légère préférence pour le texte ... en fait j'ai vraiment apprécié ces trois là mais j'arrive pas à me décider... le 5 peut-être... (Mon côté fan du japon ressort o/) - Spoiler:
Le texte 2 est assez basique, histoire de vampires et tout le tralala mais plutôt bien raconter.
le texte 4 ne m'a pas inspiré... On nous révèle la fin avant le début .. je préfère découvrir par moi même les faits, j'aurait sans doute plus aimé le texte avec la phrase d'accroche en conclusion mais ca ne reste que mon avis personnel.
|
| | | Tattu Enigma
Messages : 1496 Date d'inscription : 18/06/2011 Age : 35
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 6:47 | |
| J'ai aimé tout les textes, mais étant donné que l'on doit voter, j'ai voté pour le texte 1. |
| | | Colibri Mafieux
Messages : 454 Date d'inscription : 20/12/2010 Age : 33 Localisation : Nan... Si ?
◼ Fiche de Personnage Nom: Personnalité: Compagnon:
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 11:34 | |
| Le texte 5 est supérieur. |
| | | Axou. Majordome Retraité
Messages : 1355 Date d'inscription : 02/07/2010 Age : 30 Localisation : Seine et Marne.
◼ Fiche de Personnage Nom: Personnalité: Compagnon:
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 12:39 | |
| Je vote le texte 1. - Spoiler:
Dis donc Jm ton message c'est pas une indication au fait que c'est toi qui a redigé le texte 5 ?
EDIT BY Yû: Il a pas participé au concours xD
|
| | | Sakelie Meurtrier
Messages : 572 Date d'inscription : 20/07/2011 Age : 25 Localisation : Présente quelque part entre toi et l'ombre de ton reflet
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 16:17 | |
| Mes favoris sont les textes 1 et 5, mais mon choix va se porter sur le 5 |
| | | Lurleen Tueur à gages
Messages : 116 Date d'inscription : 13/09/2011
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 19:05 | |
| J'ai bien aimé tous les textes avec une légère préférence pour la premier:
- Spoiler:
D'une part: Il est poétique et rappelle une creepypasta. De plus, l'écriture est assez fluide D'autre part, je trouve moins simpliste de célébrer un anniversaire de mort qu'un noël ou une fête qui apparaît dans tout anime que l'on regarde u.u Ensuite, la dernière phrase, celle que je trouve la plus importante personnellement dans un récit, était la plus jolie. Pour terminer: On ne voit pas la mort, c'est juste un esprit et ça, c'est classe!
Bref, tout ça pour dire que sans trop hésiter, je vote pour le texte 1.
|
| | | Tonio Majordome Retraité
Messages : 1841 Date d'inscription : 18/11/2009 Age : 29 Localisation : Ambrosia, Dorémont, Misthallery
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 19:28 | |
| Je trouve tout les texte sympas tant par l'histoire que par l'ambiance. Mes préférés sont le 1 et le 2 - Spoiler:
La 1 est vraiment jolie et je suis d'accord la dernière phrase est très belle. Puis c'est poétique et je dirais que la fin m'a un peu surpris aussi!
Le texte 2 m'a vraiment plus!! J'ai aimé l'ambiance dès le début. Et même si la fin m'a un peu gêné j'ai beaucoup aimé. Les couleurs, les descriptions c'était très bien écrit selon moi
je vote pour le 2 o/ |
| | | Kazuha Meurtrier
Messages : 575 Date d'inscription : 26/03/2011 Age : 28 Localisation : à coté de toi...
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 20:16 | |
| j'ai beaucoup aimé le 1 et le 5 |
| | | maka chan Croque-mort
Messages : 15 Date d'inscription : 18/09/2011 Age : 28 Localisation : dans une campagne prés de l'lyon
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Mer 28 Sep - 20:35 | |
| Sérieux je suis imprésioné par votre niveau franchement bravos a tous maintenant j'ai vraiment été surpris voir choqué par le texte 1 pour moi cette personne reflète l’intelligence des mots .C'est trop fort comment il emplois les vraiment bravo! |
| | | Zakatchi Assassin
Messages : 353 Date d'inscription : 28/12/2009 Age : 111 Localisation : A 6 pieds sous terre
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Jeu 29 Sep - 15:52 | |
| Moi j'ai beaucoup aimé le 1, 2 et le 5. Mon choix final se portera sur le premier. Il est court, bien écrit, (malgré quelques fautes d'orthographe, mais bon, il y en a dans tout les textes ^^), et il y a une atmosphère sombre, sinistre et mystérieuse qui me plaît bien. Bravo à tous, le choix n'est pas évident ! |
| | | Rei Usurpateur
Messages : 1073 Date d'inscription : 26/09/2009 Age : 35 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Jeu 29 Sep - 17:39 | |
| le texte 1 est de loin mon préféré j'aime les mots employés ainsi que le style je vote donc pour le texte 1
il est court mais sublime bravo ! |
| | | Hana~chan Sweeper
Messages : 47 Date d'inscription : 22/08/2011 Age : 28 Localisation : Cappelle~
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Ven 30 Sep - 15:23 | |
| Pour ma part, j'ai hésité entre le premier et le 5e, qui sont très bien écrits tous les deux, mais me suis finalement décidée pour le 5e, car cela fait des années que je connais la légende de la fête de Tanabata, mais je ne connissais plus son nom, et le voir dans ce récit m'a aidé à me décider x3 |
| | | 000 Enigma
Messages : 1254 Date d'inscription : 01/07/2010
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Sam 1 Oct - 11:06 | |
| Bon texte 1 : Magnifique, sublimement écrit mais malheureusement un peu court... Texte 2 : Scénario usuel mais vraiment bien écrit j'ai beaucoup aimé le style ! Texte 3 : Scénario plus qu'original mais malheureusement je n'ai pas tout compris.. Texte 4 : Histoire sympa mais trop de fautes >.< Texte 5 : Au départ, j'ai pensé que ça allait être le truc basique avec les amoureux qui se rencontrent pendant une fête mais le coup de théâtre à la fin m'a séduit !!! ♥ Je vote !
Sinon félicitations à tous, je me permet de vous jugez mais je suis bien loin de votre niveau ! Bravo !!! |
| | | Yû Maître Suprême du Jeu
Messages : 3948 Date d'inscription : 18/09/2009 Localisation : Inconnue
| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! Lun 3 Oct - 0:23 | |
| Pour ma part je vote le 5 ! ~ Fermeture du sondage ~ Le texte 1 remporte la victoire ! |
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| Sujet: Re: Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! | |
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| | | | Votes : Concours d'écriture spécial 2 ans ! | |
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