Yû Maître Suprême du Jeu
Messages : 3948 Date d'inscription : 18/09/2009 Localisation : Inconnue
| Sujet: Votes - Concours d'Écriture Mar 27 Sep - 23:29 | |
| Salut à tous ~ Nous vous invitons à voter pour votre texte préféré ! D'après vous lequel représente au mieux la thème proposé ? Thème: - Citation :
- - Écrivez une histoire sous n'importe quelle forme (nouvelle, poème, article de journal, etc...), dans laquelle vous nous parlez d'un ou de plusieurs pêchés capitaux (avarice, colère, envie, gourmandise, luxure, orgueil, paresse), pour vous aider par exemple, vous pouvez imaginer une soirée, un événement, ou autre, qui petit à petit va finir en regroupement des vices, un autre exemple, vous pouvez aussi parler d'une seule personne qui a un pêché en particulier et comment il vit avec.
Les textes: - wolfmanga89:
Titre: Sentir
Sentir le sable dans la sombre lumière du soir qui meurt. Sentir sa peau contre la mienne. Sentir le vent dans mes cheveux. Sentir... Etre là, allongée sur le sol, fixant son regard brillant de désir, d'amour et de tendresse. Simplement être là. Simplement sentir...
Si vous saviez comme je l'aime ! Si vous imaginiez, ne serait-ce qu'un instant, ce que j'ai pu ressentir – et ce que je ressens en ce moment même –, si vous pouviez seulement imaginer.
Son regard est si profond qu'il m'arrive d'en avoir mal à la tête, ses cheveux sont plus doux que du velours, sa bouche est un aimant auquel on ne peut résister. Il est si beau, si attentionné, si... parfait. Je l'aime à en mourir, et il le sait. Ah, quel bonheur de l'avoir rencontré ! Quelle chanceuse je suis ! Ses lèvres se posent sur mon épaule gauche, m'arrachant à ma rêverie. Des dizaines de baisers sont méticuleusement déposés sur le bas de mon ventre, et autant de papillons se mettent à voltiger au creux de ma poitrine. Mon cœur bat la chamade. Jamais je n'aurais pensé qu'il puisse battre si fort. Il me caresse les cuisses.
<< Je t'aime, me murmure t-il, tu es si belle. >>
Puis, de ses mains adroites, il détache mon soutien-gorge, libérant ainsi mes seins. Je pousse un léger soupir. J'ai besoin de plus. Il les embrasse tour à tour, tout en effleurant mon bas-ventre. C'en est trop ! Je ne peux plus me contenir ! Je l'embrasse fougueusement. C'est si bon de me sentir moi même ! Il glisse un doigt sous le fin tissu le séparant de mon intimité. Je gémis. Il fait courir sa langue sur mes clavicules, me faisant gémir de nouveau. Je l'aime tellement ! En une fraction de seconde, il arrache ma culotte. Maintenant, je suis entièrement nue. Il me dévore des yeux. Pour la première fois de ma vie, je me sens vraiment belle. Il me serre dans ses bras protecteurs.
Si seulement je pouvais rester ici toute ma vie !
Mes yeux s'ouvrent lentement. Mon regard se pose sur les murs blancs de ma chambre. Je suis seule. Encore une fois, ce n'était qu'un rêve. Un stupide rêve. Pourquoi la vie est-elle si injuste ? Lentement, je me lève et descends les escaliers. Je me dirige vers la cuisine, où je me prépare un bol de céréales. Machinalement, je les avale. Elles sont fades, insipides, tout comme ma vie. La vie est fade et triste. Pourquoi faut-il encore s'infliger cette torture tous les jours ? Pourquoi s'obliger à rester dans cette jungle cruelle ?
Sentir la lame du rasoir sur mes poignets. Sentir le sang couler de mes veines. Sentir mon âme flotter au dessus de mon corps. Sentir... Être là, allongée sur le sol, fixant le reflet du miroir. Simplement être là. Simplement sentir...
- To est une fleur:
Juste une minute ou deux.
J’ouvre les yeux, doucement, lentement. Je suis dans mon lit, sous mes couettes, chez moi, tout va bien hAha. Je regarde mon téléphone, il est lundi, je dois aller au travail, ce n’est pas très loin de chez moi, je bosse dans une petite entreprise qui est en rapport avec la communication téléphonique. Je me lève de mon lit avec un peu de mal car il est très tôt, je ne suis pas très en forme le matin comme la plupart des gens et le fait de devoir aller bosser me déprime. Une fois préparé, habillé, nourrit, et toute la routine du matin accomplit, je suis prêt pour partir, je descends les escaliers en ajustant ma cravate d’une main en me regardant dans un des miroirs en formes de fleurs qui sont en place sur le mur de l’escalier. Mais une fois la main posée sur la poignée de la porte, je la lâche, j’ai soudain, comment dire, l’envie de laisser cette porte fermée. Je reste une ou deux minute devant la porte en fixant la poignée d’un regard interrogateur, j’essaye de comprendre ce qu’il y a; je sais que je suis fatigué d’y aller, que j’ai mal dormi, mais je vais toujours au travail car c’est important, mais là j’ai juste envie de me poser sur mon canapé et de m’éloigner de cette porte. Je me pose sur mon canapé, je crois que, je vais rater le travail aujourd’hui...je...je suis bien ici...c’est si fatiguant et si loin je préfère rester ici...je crois. Cela doit faire quelques heures que n’ai pas bougé de mon canapé, je zappe encore et encore, de reportage à film, de jeu télévisé à série. Je m’ennui un peu mais bon, je suis bien. Cela défile, défile, défile et défile encore, les programmes télévisés, je suis toujours assis dans mon canapé, il est sûrement le soir mais ma chambre est en haut des escaliers, et je suis bien ici, ce n’est pas loin ici. Je pense que je vais dormir dans ce canapé et demain, j’irai au travail, je le promet. Je ne vais pas aller au travail aujourd’hui, je me suis réveillé, je me suis levé et en me dirigeant vers les escaliers j’ai regardé la poignée, je ne sais pas pourquoi mais j’ai fais demi-tour pour retourner m’allonger. Je ne comprends pas, j’ai essayé d’appeler mon travail, ça sonne sans s’arrêter, vraiment j’ai du rester au moins 5 min à écouter en attendant que ça s’arrête, et non ça ne s’est pas arrêté, j’ai donc raccroché, bizarre. Je n’ai pas faim, je n’ai pas mangé depuis plusieurs heures, ni bu, mais bizarrement, je n’en ressens ni l’envie ni même le besoin...Je suis quand même allé chercher une bouteille ou deux, et quelques paquets de gâteaux, au cas où, mais je n’y touche pas. Cela doit faire plusieurs jours que je ne suis pas allé au travail, sûrement une semaine ou même plus, je ne n’ai toujours pas mangé, je ne bois qu’un peu, mais très rarement. Je n’arrive à joindre personnes, le téléphone sonne, encore, encore, et encore en vain. Les volets sont fermés depuis le jour où je ne suis pas allé au travail, à chaque fois que je m’approche de la poignée de la fenêtre, je n’ai plus envie, plus envie d’y toucher, juste envie de me retourner et de m’asseoir. Il y a autre chose de bizarre, je n’entends plus, enfin je veux dire, il n’y a plus, de bruits dehors, plus aucun bruits de voitures ou de gens qui parlent. Encore une semaine à dû passée, je dors de moins en moins, je n’arrive presque plus à fermer les yeux. Je n’ai pas bougé du canapé depuis, je n’y arrive pas, j’ai beau me dire qu’il le faut, je ne sais pas, j’ai...enfin je suis...c’est fatiguant quoi. Mais ce n’est pas le plus perturbant, quand je regarde la télévision, j’ai l’impression, du coin de l’œil, que mon corps...bouge...qu’il bouge ne serait-ce que de quelques centimètres, mais je veux dire MOI je ne bouge pas, j’en suis sûr! Je ne me sens pas bouger, quand je regarde mon corps, j’ai l’impression...d’être...d’être mort, je ne fais pas ne serait-ce qu’un petit mouvement, je ne bouge plus, plus du tout, mais après tout, c’est si fatiguant de bouger. Je me souviens! J’ai un flacon ou deux de somnifères dans le deuxième tiroir de la table sous la télévision! C’est dur mais j’ai réussie à faire quelques mouvement, lent, très lent, jusqu’à attraper le flacon dans le tiroir je l’ai vider, j’ai tout pris, j’espère pouvoir, ne serait-ce que fermer les yeux avec ça. Je sens comme si je m’engouffre dans le canapé, je suis aspiré, mais je ne peux pas m’en aller, je ne veux pas m’en aller, je veux juste être là, et ne plus bouger, plus bouger du tout, ce n’est pas fatiguant. Je sens que, j’ai des vertiges, sûrement à cause des somnifères, je vais juste fermer les yeux, juste une ou deux secondes, et demain j’irai sûrement...au travail, je pense. Je ferme les yeux, doucement, lentement.
Une voix transformée sort du mur: “Expérience numéro 7: “paresse”. Stade : terminé. Mort du sujet au bout de 7 mois, raison: il semblerait que, le sang dans son organisme, ai cessé de circulé, il s’est totalement arrêté. Merci de passer à la prochaine étape.”
- Wraithraiser:
Titre: Le septième ciel est un enfer
Un déclic se fit en moi quand je me retrouvais de nouveau seul, des larmes brûlantes sur les joues. Je ne sais pas si vous avez déjà senti cette sensation horrifiante lorsque quelque chose venait de se casser en vous, comme si on s’était un peu trop amusé avec. Je ne sais pas non plus si vous avez alors senti la corruption envahir sans vergogne votre esprit, le pervertissant dans chaque recoin. Mais pour l’avoir connu, je peux vous dire que cette sensation est aussi jouissive que désespérante. Joie et haine qui vous assaillaient en même temps. Délicieux frémissements de plaisir qui s’emparaient de ma chair jusqu’à m’en donner la trique. J’étais finalement devenu fou. Mais dieu, ce que j’aimais ça. Luxure.
Tel un Léviathan terrible dont on venait de lâcher la bride, je ressentais lentement ma naïveté s’envoler et une part de moi sombre… Terrible prendre contrôle de moi. Et c’était délectable, splendide même. J’étais magnifique. Orgueil.
Je n’aspirais maintenant plus qu’à une chose faire souffrir les autres, me venger du vol de mon innocence. Quant aux autres… Quoi, ils se pensent meilleurs car ils espèrent toujours ? Laissez-moi rire, ils ne savent que pleurer en se cachant les yeux ! Qu’ils relèvent la tête avec des yeux secs et désespérés, pour regarder ce qu’ils ne peuvent éviter de voir ! Qu’ils perdent à tout jamais leur imbécile naïveté, elle est inutile ici ! Envie.
Ils parlent de s’organiser, ils ont le mot « entraide » à la bouche, un mot de grand. Ils ont voulu partager équitablement le peu de nourriture que l’on avait. Mais je les ai frappé quand ils ont voulu prendre ma portion, et puis quoi encore ! J’ai besoin de force. Bien plus qu’eux, alors à quoi bon partager ? Avarice.
Il m’en a fallu du temps, mais c’est arrivé hier. L’un d’eux c’était mis sur moi, encore. J’avais remarqué que mon air endurci les avait motivés à me faire pleurer, mais ça n’arriverait plus jamais. Heureusement, ils ignoraient tout ce qui se passait dans ma tête et ne se méfiaient pas de moi. Je l’ai alors vue, la lame brillante. Dépasser du pantalon sur le sol… Je n’avais qu’à tendre la main pour la saisir. Je savais qu’il était plus sûr d’agir lentement pour ne pas attirer l’attention de mon tortionnaire. Mais je n’étais pas du genre à attendre. Paresse
La boule sur mon cœur était bien trop grande. Je me saisis promptement de l’arme, il s’en aperçu et m’envoya rouler sur le sol. Mais c’était trop tard, j’avais déjà le couteau en main. Il eut l’air effrayé avant que je ne plonge encore et encore le couteau dans sa chair. Colère
La porte de ma cellule était ouverte, j’étais enfin libre. A moi les délices de la vie. Et j’étais affamé après les dures rations de pain rassis qu’on nous servait. Un seul met pourrait maintenant me rassasier : leur corps… Oui, un à un je les traquerai et les tuerai tous. Eux qui m’avaient volé un peu plus de mon âme à chaque fois qu’ils me touchaient, je leur ferai goûter aux joies de l’enfer qu’ils m’ont donné. Puis -enfin-, je cuisinerai leur viande aux petits oignons. Car c’est maintenant à moi de me régaler de leur corps. Et je goûterai dûment leur chair avant de rejoindre l’enfer, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une miette. Gourmandise.
- kyu:
Je me suis souvent interrogée sur le but de notre existence sur la Terre. Avons-nous tous le même but ? Une fois cet objectif atteint ; On fait quoi ? Il faut un but dans la vie sinon on devient quelqu’un qui erre sans savoir pourquoi. Sommes-nous condamnés à toujours avoir un objectif, un rêve, de plus en plus dur, afin de toujours savoir dans quelle direction on va ? Un des buts important de la vie n’est-il pas de vivre heureux . Alors pourquoi parfois la vie nous empêche d’avoir ce que l’on souhaite tant avoir ? En me levant ce matin, je regardai mon horloge , 8h30 , je me suis précipitée vers le balcon. Elle était là comme tous les jours, je pouvais voir ses courbes derrière son rideau de soie. Une autre ombre apparue, une ombre masculine, on pouvait distinguer des muscles bien marqués. L’homme déposa un baiser sur les lèvres de la femme, puis disparu. Tous les matins c’est la même chose. Cela fait trop longtemps que ça dure, il est temps que ceci change. Je me suis préparée en vitesse et j’ai quitté mon appartement. En tournant la clé dans la serrure, j’étais déterminée, il était temps que je réalise le but de ma vie. Une fois sur le trottoir, j’allai en courant de l’autre côté de la route devant la porte d’un immeuble. Une fois la porte ouverte, je suis montée jusqu’au 3ème étage et je me suis figée devant la porte d’un appartement. Je pris une grande inspiration avant d’appuyer sur la sonnette. La porte s’ouvrit et une petite file apparue et demanda : -Vous êtes qui ? Je la regardai de la tête aux pieds, elle devait tous juste avoir 4ans. Je pris une voix calme et je lui répondis. - Ta mère est là ? J’aimerais lui parler. La petite fille se mit à crier « MAMAN », et une grande femme apparue. C’était elle, la silhouette de derrière le rideau. Un sourire apparu sur mon visage, et la jeune femme me regarda d’un air interrogateur. - Bonjour, je suis votre voisine d’en face ; Puis-je rentrer j’ai quelque chose à vous demander ? Elle m’invita à entrer, la porte fut ensuite fermée dans un claquement sourd. Dès que je fus dans le salon tout alla très vite. Je pris le couteau que j’avais caché sous le manteau. Je sautai, sur la jeune femme, libérant toute la rage qui sommeillait en moi depuis trop longtemps. Je ne sais pas combien de coups de couteau j’ai donnés mais du sang giclait dans tous les sens. La petite fille se mit alors à pleurer et hurler. Je ne pouvais pas la laisser en vie, pas cette petite fille née de cette femme. En peu de temps le corps de la petite fille gisait sur le sol. C’est alors que la porte s’ouvrit et une voix masculine annonça : -Mon amour, j’ai oublié mon dossier tu sais pas où je l’ai mis ? Quand l’homme arriva dans le salon son expression changea du tout au tout. Même avec une expression de peur, pour moi c’est la personne qui me faut. Il me regarda terrifié, avant de me dire la peur dans la voix : -Qui êtes-vous ? Ma tête penchait du côté droit, je le regardai avec envie, léchant le sang qui coulait sur ma main. -Mon amour, nous sommes enfin libres de vivre notre amour au grand jour. Il fit un pas en arrière. Pourquoi a-il peur de moi ? C’est pourtant par amour que j’ai fait ça. Il se précipita vers la porte , je ne le laisserais pas s’échapper, pas maintenant que nous sommes enfin réuni. Pourquoi ne veut-il pas de moi, de mon amour ? Pourquoi à chaque fois que je veux quelque chose, je n’arrive jamais à l’avoir pleinement ? Avant qu’il ne puise s’enfuir je pris mon couteau et une fois lancé il se planta profondément en plein milieu de son dos. Je le pris dans les bras, les larmes coulaient le long de mes joues. Pourquoi a-t-il refusé mon amour ? On aurait été si bien tous les deux, on aurait même pu fonder une famille. Je pris soin de me doucher et de tout nettoyer avant de partir avec le corps de l’homme de j’aimais. Une fois de nouveau dans mon appartement je descendis à la cave où je déposai avec le plus grand soin le corps inerte de cet homme qui m’avait volé mon cœur. Avant de quitter la pièce je jetai un regard à ma collection qui avait maintenant une nouvelle pièce importante.
Fin
- Humilité:
Titre: L'enfant Roi Cela fait maintenant cinq longues heures que je paresse sur mon canapé. Je me lève est m’étire longuement. J’ai faim. Je dis à mon domestique de me faire à souper. …
- Bon appétit Sir.
… Après avoir mangé, je me lave méticuleusement. C’est l’heure de repos des domestiques. Leurs repas semblent charmants. Lorsque l’un d’entre eux tourne le dos, j’en pique un morceau.
…
Finalement, je retourne m’étendre. Comme je m’ennuis. Je regarde par la fenêtre, les oiseaux volent dans le ciel. Je les envi. Ils sont si libres. J’aimerais bien en asservir un.
Soudain, j’aperçois un mécréant sur mon domaine. Rouge de colère, je sors de par la fenêtre et me montre menaçant. Ce dernier s’enfuit la queue entre les jambes. Je m’assois fièrement sur la pelouse. Personne ne s’appropriera mon domaine.
…
Je regarde autour de moi, cela faisais si longtemps, trop longtemps. Je respire. Longue inspiration. Le vent, les arbres, la pelouse, les oiseaux ; la vie. Un sentiment si apaisant. …
Oh ! Un papillon. Je me fais minuscule et l’observe. Il me suffirait d’un seul coup et il serait mien. Cependant, On me fauche par le collet.
Sir Minet ! Combien de fois va-t-il falloir te dire que tu n’as pas le droit d’aller à l’extérieur !
À la prochaine fois, si précieuse liberté.
- Poireaux Ninja:
Je suis la pomme vénéneuse et tentatrice, acide ou exquise, symbole de luxure . Je suis Anoukis, Vénus, Aphrodite, Lilith, Tlazolteotl, Freyja et Kâma. Je suis ton fantasme et ton pêché. À l'origine de ta dépendance à la pornographie. Ton attirance pour moi est indéniable. Je le sais puisque tu aimerais pouvoir embrasser qui tu veux et aimer qui tu veux. Que cette personne soit vieille, pauvre, de ta famille, belle, handicapée, trop jeune, noir, jaune, rouge, du même sexe, riche, moche, morte, animale, vierge, non-consentante ou mariée. Tu désira toujours cette personne tout le temps où tu n'y aura pas goûté. Tes pulsions et envies sont incontrôlable face à une telle tentation. Et tu aura toujours une occasion, je le sais puisque c'est moi qui te l'offre. Et à ce moment si tu perds ton contrôle, tu y prendra goût et tu cédera, encore et toujours. À moi, pour ton propre plaisir. Tu veux faire ce que tu veux de ton corps, sans être jugé ni blâmé. Mais malheureusement, tu risque de te faire attraper. Et le jugement tombera, tu sera torturé en enfer. Si tu es un de mes très dévoué, alors tu y prendra un malin plaisir. À te faire fouetter, mordre de partout par des serpent venimeux, griffer par des chimères à têtes de lion et queue de serpents et attaché par des chaînes enflammées par les enfer brûlant sous tes pieds. Rien de tel pour raviver la flamme qui sommeille en toi~ Tu tombera amoureux de se supplice, à t'en retourner les yeux. Il t'en faudra toujours plus, plus et encore plus. Jusqu'à ta mort. Noyé dans les profondeurs de mon être. Car je suis la luxure, et le luxe. Ce n'est pas fait pour tout le monde.
- Kôta:
Journal d'un pécheur. J'ai sincèrement besoin que vous compreniez les mots exprimés ci dessus car ceci est le Compte rendu des faits. Je suis exactement comme vous, normal. Et je refuse de croire que J'ai accepté ma propre folie, mon désir enfoui.
"Je ne m'en remettrait jamais" Dire cela sera toujours faux, alors que certainement, "Je considère chaque manière d'être heureux" Cette mentalité ne dois jamais nous quitter,
Afin de vivre en harmonie. "Il faut sombrer", Vous dirons des esprits manipulateurs. Mais regardes toi. N'es tu pas heureux ?
Après tout, Vous approuvez n'est-ce pas ? Mais rechercher à chaque instant à rabaisser les autres Je l'ai subis Au point de tout lâcher, d'abandonner la notion même d'humanité. Ce dileme Je me suis promis de ne plus jamais y penser mais, Je n'ai aucune raison d'être envieux, d'être avare, d'être fou...
Et il serait stupide de penser que, Il n'y a plus d'espoir.
«Je vous laisse maintenant apprécier le texte pour sa vrai valeur, lisez le à l’envers, de la dernière ligne à la première.»
Il n'y a plus d'espoir. Et il serait stupide de penser que, Je n'ai aucune raison d'être envieux, d'être avare, d'être fou...
Je me suis promis de ne plus jamais y penser mais, Ce dileme Au point de tout lâcher, d'abandonner la notion même d'humanité. Je l'ai subis Mais rechercher à chaque instant à rabaisser les autres Après tout, Vous approuvez n'est-ce pas ?
N'es tu pas heureux ? Mais regardes toi. Vous dirons des esprits manipulateurs.
"Il faut sombrer", Afin de vivre en harmonie. Cette mentalité ne dois jamais nous quitter, "Je considère chaque manière d'être heureux" Dire cela sera toujours faux, alors que certainement, "Je ne m'en remettrait jamais"
J'ai accepté ma propre folie, mon désir enfoui. Et je refuse de croire que Je suis exactement comme vous, normal.
Compte rendu des faits. J'ai sincèrement besoin que vous compreniez les mots exprimés ci dessus car ceci est le Journal d'un pécheur.
À vous de voter ~ |
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